lunes, 30 de noviembre de 2009

RECOPILACIÓN POESÍAS ANTIGUAS : LE CRI DU COEUR


Tu es l’étoile au fond de mes yeux

Semblable à cet étrange ange bleu.

Tu es l’image de tout ce que je veux

Mon espoir, vraiment je te veux.


Tu es ce nuage au dessus de mes nuits

Cette lueur claire sans aucun ennui

Mon univers et c’est tout ce que je suis

Et partout toujours, sans fin je te suis.


Tu es pareil à cet oiseau qui vole

Que chaque instant de la vie envole.

Tu es semblable à cette ironie du sort

A laquelle je m’accroche avec efforts.


Les coups du sort m’ont meurtri si profondément l’âme

Que je ne sais si un jour je m’en sortirai sans blâme.

C’est si dur de vivre dans sa tête à chaque instant de la vie

Et je me demande souvent comment et pourquoi suis-je en vie.


Drôle de question, penserez-vous sûrement

Et répondre est difficile bien évidemment

Car la vérité de la vie qui la connaît vraiment

Cette énigme éternelle des humains qui souvent nous ment.


Ma tête est un réservoir d’idées sombres inépuisable

Et un grand bain de tristesse inutilisable.

Elle coule souvent à travers les énormes flots

Que mon imagination débordante me répète sans fond.


Les questions éternelles me restent sans réponses

Et les trouver comment faire sans annonces.

Quel chemin prendre dans cette déroute,

Quel horizon suivre pour trouver ma route.


Ces quelques vers ne sont que des pensées lancées

Sans vraiment de sujet et moins d’énoncés.

J’ai besoin d’exprimer le fond de ma pensée

Et essayer de voir clair et être plus sensée.


Ma vie dérive vers des eaux troubles

Et personne ne peut calmer ces vagues si roubles.

Trouver en moi ces réponses une fois pour toutes

Et arrêter de me laisser aller à ce trop plein de doutes.


Plus j’écris et je pense à tout ce que je dis

Moins je visualise le sens de ma véritable vie.

Est-ce si complexe de vivre ce monde si dur,
Est-il impossible pour moi de briser ce mur.


C’est mon cœur qui hurle de douleur sans fin

Mon âme qui se brise à chaque mot de ma main.

Ont dit toujours cela ira sûrement mieux demain

Mais je sais que demain sera toujours sans lendemain.


Au secours ai-je envie de crier

Aidez-moi, ai-je envie de nier.

Comment trouver ma voie et ma vie

Comme apprendre à vivre sans ennui.


J’ai vraiment envie de sortir de cet énorme marasme

Mais seule comment faire et surtout sans enthousiasme.


D’abord réfléchir et trouver en moi le sens de mon existence

Est la première attitude à avoir et sans conséquences.

Faire bouger mes méninges et pourquoi pas tous mes sens

Est la première action à accomplir sans incandescence.


Mardi 20 février 1996

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